Investir en démembrement de propriété - Programmes en Nue-propriété en France

Investir en démembrement de propriété, c’est acheter à moindre coût pour se créer un patrimoine immobilier sans avoir à gérer la location du bien. Qu’est-ce que l’investissement en nue-propriété ?

 

Investir en nue-propriété, c’est un montage juridique qui sectionne en deux la propriété d’un bien immobilier ou même d’un terrain à bâtir. D’un côté, il y a la nue-propriété, c’est-à-dire le droit de disposer d’un bien comme on le souhaite et de l’autre : l’usufruit, qui permet d’utiliser un logement et même d’en percevoir les loyers.

 

En matière d’investissement en démembrement de propriété, il s’agit d’acquérir un logement neuf ou ancien jusqu’à 40 % moins cher en laissant l’usufruit à un bailleur social ou institutionnel durant 15 ans minimum. A l’issue de ces quinze années sans gestion locative au quotidien, l’investisseur en démembrement retrouve l’entière propriété de son bien immobilier. Il peut alors le louer, l’occuper lui-même ou le revendre. 

 

 

En faisant le choix de ne pas profiter de son bien immobilier pendant au moins 15 ans, l’investisseur en nue-propriété obtient une importante décote sur le prix de vente mais les avantages d’un investissement en démembrement ne s’arrête pas là.

Investir en nue-propriété permet également de profiter de frais de notaire réduits comme pour tous les achats de logements neufs et d’une exclusion de l’IFI, Impôt sur la Fortune Immobilière. Durant la période où il laisse l’usufruit à un tiers, le nu-propriétaire ne s’occupe pas de la gestion locative, ni de l’entretien du bien immobilier mais il ne paie pas non plus les impôts locaux inhérents à cet investissement locatif. Il existe même une possibilité de déficit foncier en déduisant de ses autres revenus fonciers les intérêts du prêt immobilier servant à financer cet investissement en nue-propriété. 

 

En résumé, investir en démembrement = décote jusqu’à 40 % du prix de vente, frais de notaire réduits, pas de gestion locative, pas d’impôts locaux, possibilité de déficit foncier, exclusion de l’IFI, tout cela sans attendre la possibilité d'une plus-value immobilière à terme.